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Photo du rédacteurBertrand Huchot

Victime de contagion? À quel point?

Un regard sur un sujet que j’avais envie d’exprimer depuis un certains temps maintenant. Je n’ouvrirai pas la dossier sensible du «vaccin ou anti-vaccin», mais des éléments avancés ici pourront guider certains à faire leur propre choix.

J’aimerai simplement porter la réflexion un peu plus loin, et je me contenterai de parler de la contagion virale vis à vis du rhume ou de la grippe.

Combien de fois ai-je entendu «je ne te fais pas la bise/je ne te serre pas la main j’ai le rhume/la grippe».

Très franchement, je répond souvent de façon humoristique et un peu provocatrice :«je ne crois pas à la contagion», tout en embrassant la personne.

Pourquoi dis-je cela? J’ai toujours été fasciné par les récits de la capacité de certaines personnes à soigner les malades sans tomber malades elles-mêmes. Bien sûr, certaines des ces personnes étaient des sains, mais réfléchissons plus avant avec un cas plus banal.

Parfois toute une famille est infectée, sauf une personne. Pourquoi?

Posons l’équation suivante : facteur initiateur + facteurs promoteurs + facteur déclencheur = maladie.

Ici le déclencheur est la présence du virus.

L’immunité est quelque chose de complexe. Elle met en œuvre de nombreux systèmes de notre organisme : cellules spécialisées, anticorps, systèmes biochimiques, glande thyroïde, foie, digestion, flore intestinale… La santé étant quelque chose de globale de toute façon, tous les systèmes et organes étant interdépendants, il n’est pas possible de se concentrer sur un seul de ceux-ci. Cela se traduit de la façon suivante :

– notre organisme a besoin d’être nourri de tous les nutriments dont il a besoin (vitamines, minéraux etc.) donc avec des aliments adaptés.

– il doit être capable de digérer et d’assimiler correctement.

– il a besoin d’être habillé et protégé comme le bon sens le demande. Encore que la aussi il semble que certaines surprises soit possible comme cet homme (Wim Hof) qui gravit des montagnes enneigées en short, mais passons là-dessus.

– il a besoin d’activité et de repos adéquats.

On pourra toujours conclure qu’il manquait quelque chose a cet organisme et que la personne a pris froid. Et bien sûr, c’est vrai, car alimentation et environnent sont des facteurs promoteurs.

Notons quand même par ailleurs, qu’un terrain affaibli, des jeunes enfants ou des gens âgés seront toujours les proies les plus faciles pour un virus et demanderont toujours une attention particulière.

Et finalement je voulais en venir au dernier des facteurs, le facteur initiateur. De toutes les personnes, clients que j’ai pu rencontrer, j’ai toujours observé, comme sur moi-même, que le paramètre «fatigue/déprime/coup de blues/perte de joie/déséquilibre/quelque chose qui dérange/«titille» /etc… était toujours présent, même si parfois plus ou moins consciemment. Immanquablement. Là est la cause la plus essentielle.

Un virus peut-être dans l’air, tous ne «l’attrapent pas», pourtant il est bel et bien là.

D’un point de vue énergétique, le virus va toujours avec la présence d’un égrégore («construction» énergétique faite d’accumulation de pensées du même type – ce n’est pas le cas pour la bactérie). Autrement dit, nos pensées, «feelings» vont attirer à nous cet égrégore et vont ouvrir la porte à ce virus. Cette porte énergétique se situe d’ailleurs sur le haut de notre colonne vertébrale, à des endroits différents selon le type et l’ancienneté de ce virus. Si nous sommes dans nos pensées, nous sommes moins présents à nous-mêmes, nous nous habitons moins, voir pas du tout.

De là la réalisation que notre état d’être conditionne directement notre santé. Et la réalisation qu’il suffit de changer cet état intérieur pour inverser la tendance. Même si cela est facilement dit, il faut pouvoir le faire. C’est un tout un travail sur soi qui concerne nos pensées, nos émotions. C’est un travail d’auto-responsabilisation.

On n’y arrive pas forcément du premier coup. Être conscient de cet aspect n’évite pas toujours non plus de tomber malade car cela fait aussi partie d’un processus nécessaire en soi pour la transformation de notre être. Parfois quand le corps est fatigué il a besoin que l’on s’arrête, et comme il est généralement peu écouté, il peut se servir de la maladie pour arriver à ses fins.

C’est un véritable travail de maîtrise afin d’instaurer plus de paix et de joie en soi, d’être moins affecté par l’extérieur, par les autres. Un chemin de vie en somme. Sur lequel nous nous sommes invités en nous incarnant. Notre organisme a beaucoup plus de potentiel que nous le réalisons vraiment.

Je garde toujours en tête l’image des moines tibétains, souvent vu un bras toujours à nu. Tout là-haut dans leur montagne lointaine,semblant être moins affecté par l’environnement que le commun des mortels. Et si nous prenions un peu plus conscience de ce qui se déroule dans notre monde intérieur?

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